Votre Chat
♫Nom complet : Linckia d'Ocean
♫La liste de ses noms : Patte d'Ocean . Nuage d'Ocean .
Linckia d'Ocean . Etoile d'Ocean .
♫Clan : Clan du Vent
♫Rang : Guerrisseuse
♫Sexe : Feminin
♫Description du Physique : (3 Lignes minimum)
Linckia d'Ocean est une burmesse au plage foncé et luisant. Aussi étonnant soit il, elle arbore des yeux bleus
limpides, étrange pour sa race. Sa silhouette est fine est élancée, courte sur pattes. Ces dernières sont petite mais robuste,et sont garnis de superbe griffes.
♫Description du Caractere : (3 Lignes minimum)
Lincky est douce, calme, patiente. Généreuse aussi. Mais, dérrières ses traits de pur sympatie, pleure parfois un être désolé et ravager pas la tristesse. La mort de son éternel amour, Plume de Merle, père de ses deux enfants. Mais dans tout les cas, Lincky est avenante est souriante, joyeuse pour ce qui la connaisse, et peut être un peu enfermer pour les autres.
♫Histoire : (10 Ligne minimum)
Une bourrasque de vent parcourru mon pelage, peut être chercher elle quelque chose? Dans tout les cas, elle ne le trouva pas, et rapidement, s'enfuit pour froler la surface de l'ocean. Je fermais les yeux, me concentrant sur ce qui m'entourais. Le sable chaud sous mes pattes, le vent dans mes moustaches, les vagues s'abatants sur le rivage encore et encore, le chant incessant des mouettes. Tous ça n'avait pas de fin, et n'en aurait jamais. Un ronronnement de plaisir m'échappa. Doucement, le soleil ce couchait, bientôt, le crépuscule, et je devrai quitter la plage, pour m'enfoncer dans la villa, jusqu'au vieux quartier. Jusqu'à ma maison. Oui, j'étais un chat domestique, et j'aimais cette vie. Tellement. Un claquement de porte me tira de ma reverie. J'ouvrit les yeux. Le vendeur de glace fermais boutique pour la nuit. Je me levais, et rentrais chez moi. Là où une surprise m'attendait...
Une douce odeur envahit mes narines lorsque j'arrivait dans ma petite rue. La voisine préparait une soupe de poisson. Avec un peu de chance, je récupérerais les restes pensais-je. Je bondis sur le rebord de la fenêtre de ma maison, la poussait et bondit à l'intérieur. Mais au lieu de retomber sur le carrelage de la cuisine, je senti sous moi... Une valise. Je levais les yeux. Tout autour de moi, des valises. Elles encombraient la cuisine certes, mais aussi le hall d'entrée et en avançant, je vis aussi que la chambre des Bipèdes adultes, elle aussi était encombrait de cartons. Des cartons... C'était encore plus étrange. Je montais à l'étage, les escaliers n'arboraient plus les dizaines de paires de chaussures de la familles. Même les murs n'avait plus de tableau. Arrivée à l'étage, je filais dans la chambre de la petite Bipède. Vide. Plus de nounours un peu partout. Rien. Plus de chaussettes, d'habits sales ou de cahiers parssemaient le sol. Tout était entièrement vide. Et je ne comprenait rien. Ou plutôt, j'avais peur de comprendre. Car, au fond de moi, tout était clair. Nous déménagions.
***
Je m'assis sur le rebord de la fenêtre de la chambre d'amis, à l'étage, pour contempler, ce que je pensais être une dernière fois, la mer au couché de soleil. La douce chaleur d'un soir d'été, le vent, le sable et l'écume me manquerais. La voisine et sa soupe de poisson, les longues veillé autour d'un feu de bois flotté sur la plage avec mes Bipèdes. Le marchand de glace, le rire des enfants quand ils attrapaient des crabes à la marrais basse. Tant de souvenirs m'assaillirent que bientôt, la seule idée de partir me devenais insupportable. En aurais-je la force? Je n'en étais pas si sûr. Je sautais sur le parqué, sorti de la chambre, et descendit dans le hall. Les valises n'étaient plus là, les cartons non plus. Tous devait être dans le camion, déjà prêt à partir vers de nouveaux horizons, loin de la mer et de sa perpétuelle candeur. J'en arrivais à regretter de ne pas être un cartons, de ne pas m'accorcher à des endroits, ne pas penser, ne pas être triste, me laisser berçait par le temps et la vie. Je me roulais en boule sur une marche d'escalier, pensant que le sommeil m'aiderait à m'échapper de la dure réalité.
***
Lorsque j'ouvris les yeux, la nuit était tombé depuis longtemps. La maison était plongée dans le noir, seul la lumière de la lune à travers les vitres était source de lumière. Mon coeur se serra en repenssant aux événements survenus quelques heures plus tard. L'aube pointerait bientôt, et je partirais définitivement de mon paradis. Je déscidais de faire comme ci de rien n'était, et alla dans la chambre des Bipèdes adultes. Le silence me surpris. Pas un ronflement, personne qui râler car il ne pouvait pas dormir, même pas le doux clip d'une boîte de Boules-Quies. Rien. La chambre était vide. En quelques foulées je me trouvais déjà à l'étage, dans la chambre de la petite Bipède. Vide elle aussi. Mais où étaient-ils? Ils n'auraient pas osés...
Mais dans le silence de plomb de la maison, ma peur se confirma. La maison était vide, ils étaient partis sans moi. Comment avaient-ils osé? Je n'en savais rien. Les larmes me montèrent aux yeux. Plusieurs fois, je refis le tour de la maison, tout espoir me quittant ; ils ne reviendraient pas, ils n'avaient rien laissé... Sauf moi. La cuisine, si accueillante généralement, orange et jaune vif, n'était plus que tristesse dans la pénombre. Mon regard se porta à l'exterieur, les premières lueure de l'aube fesaient apparition. Et pour la première fois, je ne savais pas ce que l'avenir me réservé.
Je poussais de toutes mes forces contre le carrau de la fenêtre qui ne cédait pas. D'ordinnaire, il s'ouvrait tous seul! Au boout de plusieurs heures d'effores, le carraux sédat et tomba sur le sol où il se brisa. J'étais libre, face à une nouvelle vie. Face à une nouvelle moi.
***
Je vais abréger le reste de mon histoire. Pendant plusieurs jours, j'ai longé la mer, puis je me suis enfoncé dans les terres inconnus. Pendant 4 lunes entières, j'ai été nomade, puis un jours, j'ai rencontré un guerrier du Clan du Vent, Plume de Merle. Il me conduisit jusqu'au camp, où je suis devenu reine, mère des enfants de Plume de Merle et moi. Malheureusement, ce dernier mourru 6 lunes plus tard, lors d'une confrontation avec le Clan du Tonnerre. Lorsque mes petits, Petite Cerise et Boule d'Algue fûrent nommer apprentis, une nouvelle vie m'appella. Celle de guérrisseuse.
Et Toi
♫ Prenom: Lou
♫Age: 12 et demi
♫Une amélioration pour le Forum ?: Ce n'est pas une amelioration, mais c'est pour un partenaria. Faites en un avec WARRIORS ART, un forum sur le graph' super actif, pas mal de monde serait interresser je pense.
♫Comment l'avez-vous connu ? : Partenaria avec un autre forum.
♫Codes :
Validosh" by Mielou